LUMIÈRE présente aujourd’hui FREUD.EST.MORT, le deuxième single d’un album à paraître plus tard en 2021. Ce dernier est accompagné d’une vidéo réalisée par David Bourbonnais et inspirée par le court-métrage dadaïste Le Ballet Mécanique, dans laquelle les paroles de la chanson sont rétroprojetées sur un écran de plexiglass à travers un nuage de fumée. Ce nouvel extrait fait suite à LA.BELLE.JOURNÉE 1971, un morceau purement influencé par le rock des années 70 lancé à l’automne dernier, qui a introduit le projet solo du multi-instrumentiste Étienne Côté. Nouvelle recrue de la maison de disques, on est heureux d’annoncer que LUMIÈRE est désormais aussi représenté par notre agence de spectacles.
FREUD.EST.MORT est sans doute la pièce la plus expérimentale de l'ambitieux album que nous réserve LUMIÈRE, mais aussi l’une de ses chansons les plus modernes dans sa facture sonore. Sa rythmique en trois temps et sa mélodie vocale recto tono rappellent davantage l’année 2001 que l’année 1971. Présentant le point de vue d’une personne qui se positionne comme un observateur face à soi-même, FREUD.EST.MORT parle de se sentir esclave de l’image que l’on projette. Confronté à un miroir, LUMIÈRE ne se reconnaît plus lui-même, tant il est habile pour moduler sa réflection devant le regard des autres.