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Bonsound

P’tit Belliveau dévoile un clip pour L’eau entre mes doigts, tirée de son nouvel album

Greatest Hits Vol.1, le premier album de P’tit Belliveau est disponible dès aujourd’hui sur toutes les plateformes numériques via Bonsound. Il est possible de commander le CD ou le vinyle sur la boutique en ligne de Bonsound. Coréalisé par P’tit Belliveau et Emmanuel Ethier, et mixé par Samuel Gemme et Ethier, Greatest Hits Vol.1 offre une suite d’histoires volontairement simples, un réconfort qui vient de la mer et de ceux qui mènent des petites batailles sans faire de vagues.

P’tit Belliveau dévoile également un nouveau clip pour la chanson L’eau entre mes doigts, réalisé par Vincent Bilodeau. Dans la vidéo d’animation, on suit un protagoniste dans son épopée sous-marine. Alors que sa vie défile sous ses yeux, son corps et son visage se transforment. L’eau entre mes doigts nous campe dans l’exploration de P’tit Belliveau du temps qui passe trop vite, un constat qui pousse l’artiste acadien à réaliser ses propres failles devant les petites montagnes quotidiennes. J'aurais jamais cru qu'être adulte ç'aurait 'té si tant d'pression. J'travaille comme un animal su'l'chantier d'construction, chante-t-il, faisant face aux aléas de la vie avec sa candeur habituelle.

Regardez et partagez le vidéoclip de L’eau entre mes doigts via YouTube.
L’album Greatest Hits Vol.1 est disponible sur toutes les plateformes numériques.
Afin de souligner la sortie de son album, P’tit Belliveau offrira une prestation solo en direct sur sa page Facebook le mercredi 1er avril à 17h (HE).
Les dates de la tournée Greatest Hits Vol.1 seront annoncées dès que possible.

L’eau entre mes doigts est le troisième extrait tiré de l’album, faisant suite à Les bateaux dans la baie et l’hymne aux impôts country-disco Income Tax, dont le clip a été vu 45 000 fois. Sur les 10 chansons retrouvées sur Greatest Hits Vol.1, P’tit Belliveau dit les choses à sa manière et joue une quantité impressionnante d’instruments. Avec son approche unique de la musique où le banjo rencontre l’électro comme s’ils avaient toujours été frères, ce premier long jeu transcende les genres et les mots. Son lexique particulier se décline pour nous dans un portrait jeune et préoccupé par rapport à la vie adulte et ses aléas. Les mots de l’auteur-compositeur-interprète épousent un genre qui se redéfinit et qui n’a pas fini d’évoluer.

Originaire de Baie-Ste-Marie en Nouvelle-Écosse, P’tit Belliveau a grandi dans une communauté francophone insulaire entourée d’anglophones. C’est néanmoins dans sa langue maternelle qu’il a fait sa grande entrée aux Francouvertes en 2019 en étant finaliste auprès de O.G.B. et Alex Burger. Installé à Moncton au Nouveau-Brunswick depuis près d’un an, il garde près de son coeur l’esprit de communauté de son bout de pays. Les lacs, la pêche et la nature s’érigent ainsi au cœur de son inspiration.

La musique a pris racine dans son cœur grâce à la radio communautaire locale de Baie-Ste-Marie où il a cueilli les premières bribes de ce qui deviendrait son essence à lui. On y jouait constamment des musiques faites DIY, ce qui prend vie et s’incarne aujourd’hui dans ses propres sonorités lo-fi, et son désir d’intégrer des drum machines dans une chanson folk ou bluegrass. Et c’est sur son ordinateur que le hip-hop et l’électro se sont mariés assez tôt dans sa vie et c’est derrière une table de DJ qu’il a senti l’appel du spectacle. De la main droite, il créait des beats pour des rappeurs et, de la main gauche, il collectionnait des banjos et des guitares. Puisque les paroles lui venaient plus facilement sur des rythmes country, il a constaté que c’est par là qu’il passerait pour chanter.

Sachant raconter le quotidien comme pas un, P’tit Belliveau décline une musique folk-country aux accents électros inspirés du feel des lecteurs cassettes.

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