Avec deux albums et un EP, des dizaines de tournées et plus de 140 000 albums vendus sur deux continents, la chanteuse et musicienne acadienne Lisa LeBlanc connait un brillant début de carrière. Ses chansons touchantes, voire déchirantes, inspirées par des histoires de peines d’amour ou de relations amicales, font penser au travail singulier de Courtney Barnett, Bob Dylan ou Dolly Parton.
Avec deux albums et un EP, des dizaines de tournées et plus de 140 000 albums vendus sur deux continents, la chanteuse et musicienne acadienne Lisa LeBlanc connait un brillant début de carrière. Ses chansons touchantes, voire déchirantes, inspirées par des histoires de peines d’amour ou de relations amicales, font penser au travail singulier de Courtney Barnett, Bob Dylan ou Dolly Parton.
C'est à Rosaireville, son village natal au Nouveau-Brunswick, à Granby, lors de sa formation à l'École nationale de la chanson, ainsi qu'à Montréal que Lisa a écrit l'ensemble des chansons qui composent son premier opus éponyme réalisé par Louis-Jean Cormier et sorti en 2012. Elle a notamment reçu le Prix Félix pour l’artiste Révélation de l’année au gala de l’Adisq en 2012 ainsi que le prix Rapsat-Lelièvre en 2013 attribué par un jury international composé de spécialistes de la chanson issus du Québec et de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Deux ans plus tard, l’arrivée de son mini-album en anglais, Highways, Heartaches and Time Well Wasted confirme l’étonnante créativité de la jeune artiste. Celui-ci réunit cinq titres originaux et une reprise de la chanson folk traditionnelle américaine Katie Cruel popularisée par Karen Dalton, dont Lisa signe les arrangements. Tout comme son deuxième album Why You Wanna Leave, Runaway Queen? paru en 2016, la musique de Lisa LeBlanc est inspirée d’un poignant road trip qu’elle a fait aux États-Unis, dans la lignée des voyages de la Beat Generation: Nashville, Memphis, New Orleans, Las Vegas, Austin, San Francisco.
Après de nombreuses tournées au Canada, aux États-Unis et à travers l’Europe, Lisa a été nominé en 2017 pour le meilleur album Roots Contemporain aux prix JUNOS et a également été nommé sur la courte liste du prix Polaris cette même année.
Étrange paradoxe : voilà un album de rupture qui nous met le sourire aux lèvres. C’est rock avec un fond country, c’est plein d’âme et d’humour.
Le DevoirLeBlanc allows herself to be vulnerable throughout the album, especially during 'I Ain’t Perfect, Babe', a slower and soulful track than the rest of the album, but she stays unapologetic about her flaws and fearless in addressing them.
Spill MagazineOn y retrouve avec plaisir la jeune femme culottée qui aime les guitares rugueuses, qui s'approprie du Motörhead avec son banjo en folie, mais qui est tout aussi à l'aise dans le bluegrass, le country-folk ou le western spaghetti […]
Alain de Repentigny, La PresseDepuis son EP, on savait que la Lisa LeBlanc version anglaise nous plaisait beaucoup, et ça se poursuit avec son second album [Why You Wanna Leave, Runaway Queen?], fait de rock bien lourd, de rugissements et d’histoire de ruptures, de fuites et de départs.
Journal MétroDouze nouvelles chansons country-folk-rock, titillant le garage, le cajun et le western au passage. C’est joué et chanté avec aplomb comme elle seule sait le faire. Lisa, nous t’attendions.
ICI MusiqueThis is a highly creative collection of songs without a trace of filler. Every song measures up to or exceeds the previous, giving the listener a record which not only immediately pulls them in, but also delivers a very artistic and unique sound which they will have trouble finding anywhere else.
Canadian Beats